UNE TOUCHE D’ÉLÉGANCE
Avec ce nouveau chronographe qui fut l’une des attractions du dernier Salon de la Haute Horlogerie, la manufacture donne un supplément d’âme à un grand classique horloger. Explications.
Repartir sur de nouvelles bases. C’est ce que nous propose Cartier avec ce Santos Chronographe. Si le garde-temps concentre bien l’ADN du modèle original, il se distingue néanmoins des précédentes versions par un choix technique qui influence le design final. Exit ainsi les deux poussoirs que l’on trouvait par exemple sur la Santos 100. Place à une ligne épurée grâce à la présence d’un mécanisme de chronographe à roue à colonne qui permet la mesure des temps courts à l’aide d’un monopoussoir parfaitement intégré à la boîte et localisé à 9h. Une pression sur le discret bouton lance la trotteuse centrale. Une autre stoppe les rouages. Pour la remise à zéro, il suffit d’appuyer sur la couronne située à 3h. Côté cadran, les informations temporelles s’affichent de façon traditionnelle. Les aiguilles de forme glaive pointent un chemin de fer composé de chiffres romains dont un VII portant la signature secrète de la manufacture. Une petite seconde à 9h renseigne sur le bon fonctionnement du calibre. Les deux compteurs à 3 et 6h totalisent respectivement les minutes et les heures. Un guichet également placé à 6h permet d’incrémenter la date.
Au sein d’un boîtier galbé (43.3 x 51.3mm) décliné en or rose, en une combinaison d’acier et d’or jaune ou encore en une association d’acier et d’ADLC, un mouvement à remontage automatique, le calibre 1904-CH MC, orchestre l’ensemble et assure 48 heures de réserve de marche une fois totalement remonté.
La Santos Chronographe bénéficie du nouveau système de bracelets interchangeables, Quickswitch. Acier, cuir d’alligator ou caoutchouc, quelle que soit votre préférence, vous pourrez habiller votre poignet en toute facilité et accorder le bracelet à votre style.
Prix à partir de 7’200 EUR (acier)
Par Dan Diaconu