RÊVE D’ESPACE
C’est sur un cadran scintillant que les phases de la lune se dévoilent. Charme et grâce sont au rendez-vous avec cette scénographie d’une grande délicatesse signée par la maison parisienne.
Plus que jamais, notre satellite terrestre ne cesse d’exercer son pouvoir d’attraction. Les astronomes pointent depuis des siècles leurs outils vers sa face illuminée, constellée de cratères. Les horlogers, eux aussi, se laissent séduire par ses cycles immuables. Chez Hermès, il donne même son nom à une gamme dans la collection de montres Arceau, née en 1978 sous le trait inspiré d’Henri d’Origny. Cette année, la manufacture nous offre avec l’Arceau Petite Lune un nouveau voyage raffiné en sa direction. Au sein d’un boîtier en or blanc de 38mm de diamètre serti de 70 diamants prend place un sublime cadran en aventurine si fine qu’elle en devient translucide et dévoile les reflets irisés d’une nacre polynésienne perlée. Dans cette mise en scène constellée de quelques diamants, un trio de planète confectionnée en aragonite, en opale et en nacre d’eau entoure le duo d’aiguilles des heures et des minutes. Dans une ouverture positionnée à 10h30, les lunaisons s’affichent au fil des jours.
Cet ensemble délicat est animé par un calibre H1837. Ce mouvement à remontage automatique assemblé à l’aide de 193 composants se distingue par ses finitions exclusives. Sa platine est ainsi perlée et colimaçonnée, ses ponts et sa masse oscillante satinés et ornés de H. Ce mécanisme offre par ailleurs 42 heures de réserve de marche. L’Arceau Petite Lune se porte sur un bracelet en cuir d’alligator lisse bleu saphir qui vient se fixer sur les emblématiques attaches aux lignes caractéristiques. Le voyage est précieux. Définitivement.
