RETOUR EN POLE POSITION
La marque du Locle met au goût du jour l’une de ses montres sportives des 70’s. L’esprit vintage dialogue avec à-propos avec des performances techniques contemporaines.
Avec le millésime 2024 de la PR516, Tissot renoue avec les heures de gloire de la compétition automobile. Le design de ce chronographe puise ses origines dans le modèle populaire dévoilé en 1968. Fervent admirateur, le Péruvien Henry Bradley (1940-2016), figure légendaire des rallyes, a inscrit son nom sur la carrosserie de sa Ferrari. Ces atours, hier comme aujourd’hui, ne laissent pas indifférent. Sur le cadran d’un noir profond, les compteurs et la petite seconde adoptent la même disposition tricompax. Et comme pour son aîné, la montre dynamise son allure sportive à l’aide de touches de couleur pertinentes, du bleu ciel et de l’orange. Cette scénographie coiffée d’un verre saphir de type “glassbox“ est cerclée d’une lunette fonctionnelle ornée d’une échelle tachymétrique et d’un pulsomètre. Et pour garantir une lisibilité optimale dans toutes les conditions, le premier quart de la lunette est habillé de Super-LumiNova® de même que les index et les aiguilles.
Pour ce garde-temps, non seulement le design de la première PR516 est conservé, mais de plus Tissot a l’opportune idée d’équiper son chronographe d’un mouvement à remontage manuel à l’instar de la référence des années 1970. Ainsi, au sein du boîtier en acier de 41mm de diamètre, bat un calibre spécialement développé pour l’occasion. Une partie de ces composants se dévoile via le fond saphir. Le Valjoux A05.291, dérivé du 7753, brille par ses performances. Il dispose d’une confortable réserve de marche bien contemporaine de 68 heures. Sa précision chronométrique varie de +/- 5 secondes par jour. À noter, Tissot propose également trois déclinaisons de son chronographe équipées d’un bracelet en métal et animées par un mouvement à quartz logé dans une boîte de 40mm de diamètre.
