L’AMOUR TOUJOURS VAINQUEUR
La marque aux deux étoiles décline son fameux symbole amoureux – un char dirigé par un angelot et tiré par un papillon – sous un ciel fait d’opale, la pierre aux mille feux colorés porteuse d’espoir et de clairvoyance.
Moteur de notre vie, l’amour nous donne des ailes, permet de réaliser nos rêves et fait naître en nous une flamme d’espoir. Cette émotion pure nourrit toutes les créations de Jaquet Droz, comme le prouve la précieuse Loving Butterfly Automaton Opal, une pièce unique et enchanteresse qui existe dans deux versions, or rouge ou en or blanc.
Le travail des pierres pour offrir un visage minéral et inédit à un garde-temps est un véritable art que maîtrise la marque chaux-de-fonnière. Le cadran de cette nouvelle montre a été réalisée en opale dont les feux font chatoyer des reflets bleutés piqués de touches de vert. Véritable aurore boréale miniature et porte-bonheur, cette pierre miroitante symbolise la pureté et favorise le calme, deux notions propres à la sérénité que procure l’amour. Dominant la beauté de ce cadre naturel, un disque de nacre blanche ou d’onyx noir placé vers 12h accueille les heures et minutes traduites par deux aiguilles de style lancine en acier bleui ou en or rouge. Au bas du cadran, l’amour est là, en mouvement, incarné par un char dirigé par un angelot et tiré par un papillon. Cette scène lyrique que borde un environnement boisé est née de la dextérité des artisans de Jaquet Droz qui l’ont ciselée et sculptée dans de l’or.
Sur le flanc droit du boîtier de 43mm de diamètre, la couronne intègre un bouton poussoir. Le presser déclenche un instant de féérie puisqu’il anime les ailes du papillon et fait tourner la roue du char grâce à un automate à remontage manuel. Les fonctionnalités horaires sont quant à elles assurées par le calibre automatique JD2653 ATI qui délivre 68 heures de réserve d’énergie.
La Loving Butterfly Automaton Opal se porte sur un bracelet en cuir d’alligator bleu ou noir fermé par une boucle déployante.
Prix: 205’200 CHF jaquet-droz.com
Par Sharmila Bertin