LA DÉLICATESSE POUR BOUSSOLE
La maison parisienne donne vie à une pièce d’une élégance rare au moyen de son cadran finalisé par les mains expertes de ses artisans, éditée à seulement 28 exemplaires numérotés.

Le temps Hermès nous transporte de nouveau à destination d’une région géographique non répertoriée sur les mappemondes. Ici, la grâce, le charme, la poésie et l’harmonie servent de points cardinaux pour se repérer. Des animaux fantastiques peuplent des décors de rêve. Ainsi, le motif réalisé par l’artiste Théo de Gueltzl pour le carré de soie éponyme à la montre Arceau Robe Légère se retrouve métamorphosé en une créature équestre d’une grande finesse. Celle-ci se compose de fleurs de feuilles d’argent figées par la délicate technique de l’émail paillonné. Une silhouette élancée et dentelée d’un équidé évolue alors sur un fond bleu abysse obtenu au moyen d’une poudre de verre colorée mélangée à des huiles naturelles et cuite au four à forte température afin de fixer les pigments.
Ce travail minutieux donne vie à une scénographie fascinante emplie de finesse, mise en exergue par les 71 diamants qui viennent orner la lunette. L’ensemble prend place au sein d’un raffiné boîtier usiné en or blanc de 38mm de diamètre. Sur les emblématiques attaches asymétriques propres à ce modèle dessiné par Henry d’Origny en 1978 sont positionnées les brides d’un confortable bracelet confectionné en cuir d’alligator. Le duo d’aiguilles des heures et des minutes est propulsé avec rigueur par le calibre H1912. Ce mouvement à remontage automatique assemblé dans les ateliers helvétiques leur offre 50 heures de réserve de marche. De quoi profiter pleinement du décor onirique de l’Arceau Robe Légère, composé avec dextérité par les savoir-faire experts de la manufacture.
