À l’occasion de la présentation des éditions 2023, Georges Brunet, CEO de ZRC, fait le point sur le dynamisme de la marque.
Depuis 2015, ZRC s’impose dans le paysage horloger. Quel bilan pouvez-vous effectuer sur ces années de croissance ?
Le bilan est plus que positif. En 2015, ZRC renaissait tel un Phœnix. Aujourd’hui, la marque s’est imposée en France au travers de 50 partenariats exclusifs avec les meilleurs horlogers de l’Hexagone. La croissance est très stable et malgré les mouvements sociaux et la crise sanitaire l’avenir reste très prometteur, surtout à l’approche de 2024 avec le jubilé des 120 ans de la marque qui sera l’occasion de la mise sur le marché d’un tout nouveau modèle historique signé ZRC.
Quels sont les prochains axes de développement ?
ZRC doit clairement se positionner en Europe au même titre qu’elle s’est positionnée en France et en Suisse. l’Italie, l’Allemagne, l’Angleterre et l’Espagne sont des marchés cibles que nous ne pouvons pas ignorer. Malheureusement, deux ans de COVID nous ont très largement ralentis dans le processus d’expansion de la marque. Il nous faut également arriver avec un modèle plus “démocratique“ que l’emblématique Grands Fonds MN64 avec sa couronne à 6h afin de séduire un plus large public.
Les montres ZRC prennent des couleurs. Qu’est-ce qui motive cette évolution esthétique ?
En réalité, dès 1969, la sortie de la Spatiale ZRC avait exploré des cadrans et lunettes colorés. C’est la suite logique de proposer des palettes de couleurs afin de dynamiser les collections et surtout de sortir de l’éternel cadran noir ! Sans toutefois succomber aux canons de la “mode à tout prix“ nous préférons la subtilité, en apportant une touche de couleur à la fois au niveau des cadrans, mais aussi dans l’offre de bracelets.