GRANDE SONNERIE 6301P Patek Philippe

GRANDE SONNERIE 6301P Patek Philippe

ENVOLÉE LYRIQUE

Avec cette création disponible en collection courante, la manufacture genevoise fait le bonheur des mélomanes avertis. Trois modes acoustiques permettent d’apprécier la douce musique du temps.

En 1924, Patek Philippe présente sa première montre-bracelet munie d’une complication à répétition minutes. La présence de celle-ci permet de lire l’heure de façon sonore à la demande. Un marteau grave sonne les heures, un autre, aiguë, les minutes. Les quarts sont obtenus grâce à l’alternance des deux. Durant près d’un siècle, la manufacture genevoise n’a cessé d’innover pour offrir aux amateurs la possibilité de lire l’heure en écoutant une délicate harmonie sonore. Cette année, avec la référence 6301P, la mélodieuse fonction est associée à une grande et à une petite sonnerie. La première tinte au passage les heures et les quarts en répétant les heures à chaque quart. La seconde carillonne automatiquement les heures et les quarts. Un sélecteur discrètement logé à 6h offre la possibilité de choisir le mode. Un poussoir intégré à la couronne donne en outre la possibilité de lancer la répétition minutes.

patek philippe grande sonnerie 6301p sideSur le cadran en émail Grand Feu noir doté d’une finition glacée, des aiguilles de type feuille pointent un tour d’heures composé de chiffres Breguet en or. En symétrie, l’indication de réserve de marche du mouvement (72 heures) répond à celui dédié à la sonnerie (24 heures). Une petite seconde sautante à 6h équilibre le tableau. Positionné dans un boîtier en platine de 44.8mm de diamètre, le calibre GS 36-750 PS IRM joue le chef d’orchestre avec maestria. Pas moins de 703 composants sont nécessaires pour donner vie à cette partition magistrale. Le fond en saphir de l’écrin laisse admirer le mécanisme en action.

patek philippe grande sonnerie 6301p caseback

La Grande Sonnerie 6301P se porte sur un bracelet raffiné en cuir d’alligator à écailles carrées fermé par une boucle déployante.

Prix: sur demande

Par Dan Diaconu