PLAISIR VISUEL
Les ateliers de l’horloger indépendant déclinent ce modèle de chronographe mono-poussoir en trois éditions limitées combinant une boîte en titane à des composants aux couleurs bien distinctes.
Récompensée par l’International Good Design Awards en 2017 pour sa “vision esthétique cohérente du beau“, la montre Memoris se distingue également par la construction originale de son mouvement LM79: la partie chronographe est séparée du mécanisme à remontage automatique. Les composants dédiés à la mesure des temps occupent ainsi la première loge tandis que les éléments voués à l’évolution des aiguilles pour lire l’heure prennent place sous la platine. Pour la Memoris Superlight, Louis Moinet conserve la même disposition spécifique positionnée dans un boîtier désormais usiné en titane de 46mm de diamètre aux finitions polies et satinées. Le recours à ce matériau offre à l’écrin la particularité d’être léger, seulement 31 grammes, et agréable à porter.
Côté cadran, l’espace supérieur ajouré permet de lire les temps chronométrés à l’aide de la trotteuse centrale et du totalisateur 30 minutes. Une petite seconde équilibre à 9h la composition dans une ambiance purement mécanique. La roue à colonnes est mise en évidence à 12h. C’est elle qui pilote les trois fonctions (départ, stop, remise à zéro) du chronographe gérées par un seul poussoir. Quant à l’heure et aux minutes, elles s’affichent dans un disque coloré logé à 6h.
La Memoris Superlight dévoilée en cette fin d’année se déclinent en trois éditions limitées de 28 pièces. La première propose des atours rouge carmin, la deuxième s’habille d’un vert pomme, la dernière de nuances de pourpre. Toutes se portent sur un bracelet coordonné confectionné en alligator.
Prix: sur demande
Par Dan Diaconu