ATTACHEZ VOS CEINTURES!
S’appuyant sur le lien fort qui l’unit aux sections aéronautiques de l’armée nord-américaines, l’horloger de Schaffouse propose une série de trois chronographes en céramique arborant chacun l’écusson d’une patrouille aérienne sur son cadran.
Le parcours d’IWC est fortement rattaché au domaine aérien et en particulier aux forces aéronautiques telles la U.S Navy, un lien que la marque, qui possède une licence depuis trois ans, alimente en créant des pièces exclusives et robustes destinées aux membres d’escadron. Cette année, c’est vers le public qu’elle se tourne en dévoilant une série composée de trois modèles de Montre d’Aviateur Chronographe U.S Navy qui arborent les écussons de patrouilles aériennes au bas de leur cadran.
Ce trio de garde-temps, dont la production annuelle est limitée à 500 exemplaires par référence, présente ainsi une unité différente: les “Royal Maces“ (Strike Fighter Squadron 27 ou VFA-27, stationnée près du Japon), les “Tophatters“ (Strike Fighter Squadron 14, basée en Californie) et la célèbre patrouille acrobatique “Blue Angels®“. Chaque boîtier en usiné en céramique, noire ou bleue, mesure 44.5mm de diamètre pour 12mm d’épaisseur et détient une couronne vissée et des poussoirs en Ceratonium®, un matériau léger et résistant développé par IWC. Le fond en titane se pare d’une gravure évoquant les emblèmes des escadrons: la silhouette d’un jet Super Hornet pour les “Royal Maces“, d’un haut de forme pour les “Tophatters“ et d’un quatuor d’avions pour les « Blue Angels® ».
Rythmées par le calibre automatique 69380 (4hz et 46 heures de réserve de marche), les affichages apparaissent sur le cadran via deux larges aiguilles heures/minutes au centre qui pointent de gros chiffres arabes et index, une petite seconde à 6h et un double guichet jour/date à 3h. Quant aux indications du chronographe, la trotteuse noire à pointe de couleur ou vernies de jaune vif égrène les secondes comptabilisées dans les totaliseurs azurés (minutes à 12h et heures à 9h).
Prix: 11’900 CHF
Par Sharmila Bertin