OYSTER PERPETUAL COSMOGRAPH DAYTONA Rolex

OYSTER PERPETUAL COSMOGRAPH DAYTONA Rolex

ENTRE OMBRE ET LUMIÈRE

Cadran panda ou panda inversé? L’horloger genevois déploie sa créativité pour jongler avec les teintes de nacre naturelle et ainsi créer de nouveaux jeux d’ombre et de lumière sur un binôme de montres gansées de diamants.

Initialement taillée pour la course automobile, confortablement calée sur le poignet des pilotes, lors de son lancement en 1963, la montre Oyster Perpetual Cosmograph Daytona a appris à se réinventer au fil du temps. En effet, ce modèle emblématique des collections de Rolex affiche désormais un style plus sophistiqué comme le confirment les deux modèles présentés cette année. L’échelle tachymétrique placée sur la lunette est remplacée par un ruban de 36 brillants, l’acier s’efface au profit de l’or gris et le cadran jongle avec la nacre naturelle pour créer des jeux d’ombre et de lumière.

A la manière d’une image en couleur qui serait passée en négatif, le visage irisé de ce duo redéfinit avec élégance les dénominations “panda“ et “panda inversé“: les trois compteurs (petite seconde à 6h, totaliseurs 30 minutes et 12 heures du chronographe respectivement à 3 et 6h) sont en nacre noire sur fond blanc ou, au contraire, en nacre blanche sur un disque sombre. Afin d’exploiter chaque reflet, le tour d’heures accueille huit index en diamants et trois appliques Chromalight qui diffusent une lueur bleutée dans l’obscurité, balayé par les aiguilles des heures et minutes courantes et la grande trotteuse centrales. Le boîtier de 40mm de diamètre et 11.90mm d’épaisseur est muni d’un fond, d’une couronne Triplock et de poussoirs vissés afin de garantir une étanchéité jusqu’à 100m de profondeur. Il abrite le calibre 4131, un mouvement automatique performant dévoilé en 2023 qui fournit une importante réserve d’énergie de 3 jours une fois pleinement remonté.