IMPACTS SIDÉRALS
Toujours plus exclusive, la Daytona se dévoile cette année sous de nouveaux atours avec l’association d’un écrin en métal précieux et raffiné à un cadran original venu du ciel.
La quintessence du chronographe signé Rolex, l’Oyster Perpetual Cosmograph Daytona, se décline désormais dans trois variations prestigieuses. Leur particularité? Outre leur boîtier de 40mm de diamètre, étanche jusqu’à 100m de profondeur, usiné en or gris, en or jaune et en or Everose, toutes disposent d’un cadran réalisé à partir d’une pierre de météorite composée de fer et de nickel. L’emploi de ce matériau n’est pas une nouveauté pour la marque à la couronne. Il a déjà intégré par le passé d’autres références telles que la Day-Date 40. Celui-ci se distingue toujours par la présence de figues de Widmanstätten, un motif de stries aléatoires. Elles ont pour origine le passage d’une température supérieure à 1’000°C dû à l’explosion d’un astéroïde, à un refroidissement tout d’abord brutal puis espacé sur plusieurs millions d’années. Dans ce décor interstellaire, on retrouve les totalisateurs 30 minutes et 12 heures associés) la petite seconde à 6h. L’ensemble est cerclé par une lunette ornée d’une échelle tachymétrique, en céramique noire, en or jaune ou en or Everose, selon la version.
Chacune de ces montres est animée par le performant calibre 4130. Ce mouvement à remontage automatique qui intègre de toutes les dernières innovations de Rolex délivre 72 heures d’autonomie au chronographe. Toutes ces références disposent en outre de la certification Chronomètre Superlatif, gage de grande précision.
Selon le matériau de l’écrin, le garde-temps se porte sur un bracelet Oysterflex ou Oyster, terminé par un fermoir de sécurité Oysterlock.
Prix: 32’150 EUR (or gris) – 38’650 EUR (or jaune) – 41’250 EUR (or Everose)
Par Dan Diaconu