RUNABOUT CHRONOGRAPH AUTOMATIC Frederique Constant

RUNABOUT CHRONOGRAPH AUTOMATIC Frederique Constant

AUX PORTES DE L’OCÉAN

Couleur intemporelle, le bleu marine qui évoque les flots de l’océan est la teinte idéale pour habiller le cadran de deux nouveaux chronographes, proposés en édition limitées, de la marque genevoise.

La nature offre de si belles couleurs, pures et intenses, qu’elle représente une source d’inspiration infinie. Comme le bleu, par exemple, que l’on emprunte à l’univers océanique et fait immédiatement naître en nous l’image d’une mer calme, de flots berceurs et, pourquoi pas, d’une plage sur laquelle se prélasser. C’est la couleur qu’a choisi Frédérique Constant pour habiller le visage d’un nouveau duo de montres Runabout Chronograph Automatic, deux références disponibles chacune en 888 exemplaires.

frederique constant runabout chronograph 2021 closeupMesurant 42mm de diamètre, le boîtier étanche jusqu’à 50m de profondeur est en acier poli ou plaqué en or rose. Il abrite le calibre F-392, un mouvement automatique cadencé sur 4hz et délivrant 55 heures de réserve de marche une fois pleinement remonté, soit 9 heures de plus que les modèles précédents.

frederique constant runabout chronograph 2021 caseback

Le cadran présente un centre paré d’un motif guilloché Clous de Paris sur lequel reposent trois compteurs azurés, la petite seconde indiquée à 9h et les totaliseurs des minutes et des heures du chronographe respectivement placés à 12h et 6h. Au centre, deux aiguilles de type lancine, argentées ou dorées, pointent des index et chiffres arabes luminescents et une minuterie sur le réhaut, qu’accompagne la trotteuse chargée de gérer la mesure des temps courts. Une fenêtre de date affichée en noir sur fond blanc à 6h complète l’ensemble de ces fonctionnalités.

La Runabout Chronograph Automatic se porte sur un bracelet en cuir de veau bleu marine embossé pour un effet alligator et bordé de coutures blanches que ferme une boucle déployante.

Prix: 2’695 EUR (acier) – 2’895 EUR (acier plaqué or rose)

Par Sharmila Bertin